L’apprentissage ne se fait pas automatiquement, il faut d’abord investir une dose de réflexion sur les démarches à suivre. Comment définir le dessin, sélectionner celui qui correspond à soi, étudier les outils ? Comment se déroule l’exécution du travail ? Ces quatre questions doivent être répondues clairement au cours de l’apprentissage.
Une imagination débordante pour avoir une belle esthétique
Tailler sa barbe est une paire de manche mais savoir respecter la toison qui rime avec la morphologie du visage en est une autre assez difficile. Pour que cet art soit bien appris, une grande aire de réflexion en est investie. Pour partir sur la méditation, il faut refléter sur des images toutes les idées qui passent par la tête. Entre autre si vous voulez avoir une tracée arrondie ou triangle au niveau de la mâchoire, ne laissez pas filez cette idée mais la reconstituer sur un dessin. Si possible, y apporter la mesure qui concilie à la dimension de la surface cible. Il faut alors en posséder un catalogue ou se faire son propre maquette.
Reproduisez la forme de votre visage (face et profil) sur une image. Sinon prenez des clichées énormes (en mode rasé), pouvant vous montrer leur morphologie précise si des détails vous épargnent. Ensuite, les superposer avec toutes les coupes que vous avez établies sur une maquette. Vous allez le découvrir par vous-même celle qui palliera à votre attente. Il est essentiel de demander conseil auprès des autres.
A éviter d’avoir une idée changeante au cours de la réalisation de la coupe car cela ne fera que redonner un rendu déséquilibré.
Priorisez l’aspect de ses poils car un pigment rigide nécessite beaucoup d’entretien par rapport à celui souple. C’est une tâche rude à réaliser donc nécessitant une petite analyse. En fait, les poils raides ne sont pas sensés former une belle barbe longue s’ils en manquent un soin hebdomadaire. Consultez les figures qui pallient à votre attente avec la référence www.Triomphe.com!
Les outils importants pour prioriser le rendu
L’art ne s’accomplit qu’avec la diversité. Cela dit, une panoplie d’objets est en faire usage afin de résulter un œuvre méticuleux. L’une des choses les plus importantes à savoir aussi c’est prioriser l’entretien de la barbe. L’entretien par contre ne tient pas qu’au simple nettoyage. Ceci étant dit, la peau nécessite un bon massage avec une bonne huile comme le baume chauffant mais encore de l’huile d’argan ou une crème adoucissant.
Pour la barbe proprement dite, il en faut un savon assouplissant ou un shampoing conçu pour celle-ci pour rendre la coupe on ne peut moins dérangeante. Pour que la forme tienne, une laque de fixation ou de la cire pourront faire l’affaire.
Concernant l’étape la plus fatidique, il faut en avoir les bons outils de dressage. Parmi ceux les tondeuses qui sont certes très variables selon le type de tonte. Il en existe trois types dont celle spécifique au rasage, celle qui peut apporter du style (dégradé) et celle faite pour y apporter de la précision. La deuxième et la dernière variante pourraientt avoir 2 à 6 sabots qui ont chacun leur spécificité de coupe. Ils conviennent à atteindre jusqu’à 48 hauteurs de tonte avec un dessin dégradé. Un sabot de 0,5 à 1mm est par exemple propice pour finir une barbe naissante alors que celui qui fait entre 1,5 mm à 5 mm pourra s’occuper d’une repousse de 4 à 10 cm de longueur. Une shavette ou une lame traditionnelle complèteront le niveau de la joue et celui des pommettes pour que la peau y redevienne soyeuse à l’optique.
Comment couvrir les imperfections ou le déséquilibre sur le visage ?
Une mission essentielle à établir durant la tonte c’est de trouver les parties appuyées sur le visage. Les lignes de tonte doivent paraître uniformes, du coup il ne faut pas trop insister pour couper sur ces endroits. Or le contraire pourrait être nécessaire si l’implantation est abondante sur une zone donnée.
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